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Ce conte, collecté par Paul Sébillot, est paru dans le n° 3-5 de la ''Revue des Traditions Populaires''. ==Texte intégral== La première fois que le coucou vint en Bretagne, il fit son nid comme les autres oiseaux, puis, tout joyeux, il alla se promener dans une prairie. Une charretée de foin lui passa sur le corps et lui cassa les reins; c'est depuis ce temps qu'il vole lourdement. [[Catégorie:Conte étiologique]] [[Catégorie:Paul Sébillot]] [[Catégorie:Revue des Traditions Populaires, année 1888]]

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