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Conté par Auguste Sarthe, maçon, de Villelongue, par Argelès,en 1898. ==Texte intégral== Un boiteux, sa journée terminée, rentrait au logis. Sur la route un pinson lui chantait sa sérénade : :Tié-te tor, tié-te tor ! :Tiens-toi, boiteux, tiens-toi, boiteux ! Un couplet semblable n'était pas du goût de notre homme, qui aurait plutôt goûté à une livre de côtelettes de mouton et à une pinte de vin clairet. Une pierre lancée fit choir l'oiseau au pied de l'arbre. Et comme ''requiescat in pace'' le boiteux lui dit : :Tiè-te dret se podes bedare! :Tiens-toi droit si tu le peux maintenant ! [[Catégorie:Conte d'animaux du Lavedan]]

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